Dans la melodie d’une douleur, les mots s’épanchent, se dévoilent, comme des notes égarées dans l’écho de la souffrance. La plume, telle une baguette de magicien, cherche à extraire l’imaginaire emprisonné, à transcender la douleur en une symphonie de mots qui résonne dans l’âme solitaire. La création devient le remède, la voie où l’autiste s’égare pour mieux se retrouver, bravant la démence pour écrire son propre destin.
Mais dans la joie ?
Dans la joie, l’écriture est différente la glande pinéale s’écréte une autre substance beaucoup plus aléatoire et danse. Écrire la joie, c’est d’écrire la vie, le sombre lui n’existe que pour que la lumière soit. Donc tout est sombre apparemment la lumière dans le corps à tous les louanges gravées dans l’imaginaire de chacun. Lorsque la représentation devient un songe conscient, l’image interprétée se perd dans la réalité de la situation. L’écriture, telle une toile pour le peintre, capture les nuances de la pensée ou crée une nature morte vivante. Chaque mot, comme une brosse de l’autiste, dépeint la joie ou la tristesse propre à la représentation de l’âme, révélant ainsi une réalité intérieure qui transcende l’éphémère.
Elle,La mélancolie, cette figure poétique, devient la bucolique de l’âme, une obscure clarté où la triste joie danse en harmonie avec les mots. Comme une mélodie mélancolique, les phrases tricotent une ambiance feutrée, révélant une beauté teintée de nostalgie, une émotion qui éclaire.
Cette musique s’appelle peut-être l’enfance….✍️🎵