Quelle intention ?


Publier en mots, l’audace d’être dévoilé,
L’ombre du non-lu, un risque à déchiffrer.
Quel péril cela porte-t-il, d’être visible ou rester secret ?
Le texte, minime face au défi que l’on perçoit?
Écrire sans nom, seul le risque de publier,
Ou l’absence de prise, pourquoi en braver, de quelles peurs est-il le reflet ?

Quelle intention ?

J’opte pour l’audace d’écrire, opposé au miroir silencieux,
Effaçant les traces dans sa propre représentation.
Le texte, véritable essence, publier, égo ou partage ?
L’intention réside, écrit-on pour être lu, ou simplement pour s’exprimer ?
Questions persistantes, encre des doutes, le texte, une énigme,
Entre le partage et la quête, la danse de l’âme qui s’exprime.

Quelle intention ?

En mots tissés, le défi d’être dévoilé s’érige,
L’ombre de l’inouï, un risque à questionner.
De quel péril s’agit-il, d’être vu ou dans l’oubli ?
Le texte, il semble, réduit le risque à une lueur.
Écrire sans nom, le risque de publier,
Ou l’absence de prise, pourquoi l’affronter, de quelles peurs parle-t-on ?
J’opte pour l’audace d’écrire, en opposition au miroir silencieux,
Effaçant les traces dans sa propre représentation.

Quelle intention ?

Le texte, pur en son essence, publier, égo ou partage ?
Quelle intention se dissimule, écrire pour être lu, ou simplement pour s’exprimer ?
Questions persistantes, l’encre des doutes danse,
Entre le partage et la recherche, l’âme dévoile son énigme.

Quelle est ton intention lorsque tu écris toi ? Peux-tu me l’exprimer? par un message un signe ?

Quelle intention ?

Monde


El Mondo

Nouveau monde, appel à l’autonomie ardente,Vers l’autre,’essence du précepte indépendant. Chemin solitaire, quête de soi-même,Là où l’autonomie devient un royaume. Les liens s’estompent, l’aller vers l’autre s’affaiblit,En l’autonomie, un nouvel horizon se lit. Autonome à tous égards, telle est la clé,Découvrir en soi la force, la pure vérité.Au-delà des rencontres, des pas incertains,L’autonomie éclaire, guide […]

Monde

Je joue la percussion


Je joue des percussions pour sentir la terre sous mes mains. La sensation est incroyable, une communion avec cette peau vivante qui ne demande qu’à s’exprimer à travers le prisme de son propre son. Chaque frappe devient un motif à la longévité persistante, une métaphore du tapage dans le cri profond de la peau, une symphonie terrestre qui résonne au rythme de l’expression libérée…🪘 La percussion, authentique, réfléchit ta sensibilité en plein visage, sans trahir. Abandonne-toi au vice du labeur, aux cornes de ta peau, étincelle ancestrale. Dans le fracas du travail, trouve la symphonie de ton essence, une danse primitive qui résonne avec la pulsation de l’authenticité.

La percussion, une respiration comme celle d’un enfant au premier regard, révèle son nom, cristallin et clair, une identification instantanée. Chaque battement, une inspiration profonde, chaque note, une émotion pure gravée dans le langage universel du cœur.

Joue la percussion

Monde


Nouveau monde, appel à l’autonomie ardente,
Vers l’autre,’essence du précepte indépendant.

Chemin solitaire, quête de soi-même,Là où l’autonomie devient un royaume.

Les liens s’estompent, l’aller vers l’autre s’affaiblit,
En l’autonomie, un nouvel horizon se lit.

Autonome à tous égards, telle est la clé,
Découvrir en soi la force, la pure vérité.
Au-delà des rencontres, des pas incertains,
L’autonomie éclaire, guide sur le chemin.

Précepte silencieux, guide intérieur,
Dans ce monde neuf, source de lumière.

Arborescence d’ un Monde ?Où seul est plusieurs.

OPUS 1

Où est mon cahier ?


Le mot, le texte, la phrase, le cahier, égarés dans l’envoi des idées, se sont évaporés du tiroir, s’évanouissent comme des ombres fugitives. À la fenêtre, près du bol qui retient les clés de la chambre, l’oubli s’installe, laissant une empreinte floue sur la réalité.
Le miroir, témoin silencieux, n’offre que des reflets vides, une danse de transparence où les mots se cachent. Une feuille si diaphane qu’elle se dérobe au regard, laissant seulement entrevoir les contours des phrases perdues.
Piégé dans cette quête infinie, comme un poète captif d’une cage où réside un oiseau inquiet, je me retrouve face à l’explosion imminente de toutes ces notes révoltées.

La cuisine devient le théâtre de la colère des idées en ébullition, un crescendo chaotique où les mots se mêlent et se dérobent, laissant derrière eux un écho tumultueux de pensées éperdues. Où sont mes textes, phrases et cahier ? Un mystère flottant dans la vapeur de l’oubli, une quête perdue entre les ombres du tiroir et les reflets fugaces du miroir. L’inquiétude grandit, piégée dans la recherche de mots évanescents, alors que la colère des notes révoltées menace d’exploser.

Ouffff ✍️

Magique cahier, retrouvé tel un trésor, sagement rangé à sa place, prêt à dévoiler les mystères qui s’y sont inscrits. Chaque page, une aventure en suspens, chaque mot, une promesse de révélation. Dans ce retour, une harmonie retrouvée, un lien renoué avec les pensées égarées

Je fume trop


Je m’abandonne à la fumée, une danse constante, Les choix semblent restreints dans ce vide intersidéral qui anime l’instant. Comment résoudre cette équation complexe, comment mettre un terme à cette habitude enracinée, peut-être en espérant un dénouement, une éclaircie dans le ciel obscur de mes pensées.

Cette cigarette, compagne silencieuse, remplace parfois l’absence de ma mère, une femme insaisissable. Elle se glisse dans le vide laissé par cette présence évanouie ou peut-être devient le fruit d’une habitude naissante qui s’installe, un rituel réconfortant dans l’ombre de ce manque.

La peur de cette cigarette, une angoisse persistante qui pèse comme un sac à dos d’enfant, un fardeau à combattre jusqu’à son ultime fin. L’étreinte de cette habitude semble colossal, un poids qui s’attache à moi. Comment m’en débarrasser, comment alléger ce fardeau, sont des questions qui résonnent dans l’écho de mes craintes, un combat intérieur où chaque pas semble une bataille contre cette ombre de nicotine.. 🖐️🛑

Stopper ce faux Ami 🚬

« Une cigarette après l’autre, une fumée qui tisse le temps entre chaque souffle. »

Je mâche , je mâche ..


Je mâche des chewing-gums sans répit, une symphonie de saveurs, chaque gomme un refrain différent. Comme les oiseaux qui composent un concert aérien, chaque goût une note, une mélodie éphémère.
Mais ces chewing-gums, doux refuge, me rendent fou, car le temps s’étire dans chaque bulle éclatée. Chaque mastication est une fuite, un oubli des heures qui s’étirent, des minutes qui s’effritent.
Je mâche pour dissoudre le temps, pour que chaque bulle éclate soit une pause sans fin. Un acte mécanique, répétitif, une tentative de suspendre le cours implacable de l’horloge, de me perdre dans l’instant sucré.
Ainsi, je mâche, je mâche pour oublier que le chewing-gum est un boléro, une étrange danse où chaque saveur est une mesure, une fugue sans fin dans l’art de retarder l’écoulement inexorable des secondes.Dans cette mastication incessante, j’ai réalisé que le moment n’était qu’une gomme à mâcher, étirée, déformée, sans substance réelle. Alors, je persiste dans cette quête de l’oubli, mâchant, mâchant, en espérant qu’au détour d’une bulle éclatée, quelqu’un d’autre puisse me mâcher.

Les secondes se dissolvent dans chaque morsure, il tempo devient une pâte élastique entre mes dents. L’illusion d’une pause infinie dans la répétition monotone de cette action, comme si mâcher pouvait me libérer du joug du temps qui s’étire. Ainsi, je mâche, comme une offrande à l’asphyxie du temps, en espérant que le rythme régulier de mes mâchoires puisse m’immerger dans un oubli momentané. Peut-être, dans cette mécanique infinie, quelqu’un d’autre ressentira ma quête et viendra, d’une façon ou d’une autre, partager cette danse étrange et insensée.

Le temps de lâcher , je mâche.

Prose des vents


Les vents, invisibles poètes de l’atmosphère, tissent une prose infinie dans le langage des brises et des tempêtes. Ils caressent doucement les feuilles des arbres, une délicate poésie murmurée à la nature, symphonie du souffle invisible.

Parfois, ils se lèvent en furie, écrivant des vers tumultueux dans le ciel, ébranlant les cieux de leurs métaphores tonitruantes. Les vents, messagers de l’inconnu, portent avec eux des histoires venues des contrées lointaines, des paroles murmurées au sommet des montagnes et chuchotées dans les vallées.

Ils sculptent les dunes du désert, dessinent des arabesques dans les nuages, jouant avec les éléments pour créer une prose éphémère. Les voiles des navires sont des pages vierges prêtes à être écrites par les souffles marins, les aventures narrées par les vagues et les murmures du vent.

C’est une prose sans encre ni papier, inscrite dans le mouvement incessant de l’air. Les vents, conteurs infatigables, traversent les horizons, racontant l’histoire du monde aux montagnes immobiles, aux océans insondables.

Et ainsi, la prose des vents continue, une épopée sans fin qui se déroule à travers les saisons, un poème qui se déclame au fil du temps. Les vents, éternels troubadours du cosmos, écrivent sur la toile du monde une histoire sans frontières, une poésie qui danse dans l’infini.

Prose des vents

Ciel étoilé, Allons Respirer.


Sous le ciel étoilé, le murmure du vent danse avec les feuilles endormies. La lueur argentée de la lune caresse la terre, révélant des ombres mystérieuses. Les échos lointains de la nuit résonnent comme des poèmes oubliés, tissant une symphonie secrète dans l’obscurité. Même pendant la nuit, le jour se manifeste comme une bénédiction, à la fois invisible et visible, tel un filigrane délicat.

C’est comme l’eau de pluie tissant un filet à peine perceptible, mais qui enveloppe le monde dans une grâce transparente. Chaque souffle de la nature semble une invitation à plonger dans l’inconnu, où les rêves prennent vie et où les émotions se fondent en une palette de couleurs éphémères. La nature offre un bien-être profond, une source de joie émanant du murmure des feuilles et du chant des oiseaux. Chaque respiration devient une connexion vivifiante avec l’énergie pure de l’environnement, insufflant une harmonie qui résonne en nous.

Allons respirer 🌳🌳

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